Les jeunes ont la possibilité de se constituer un portefeuille diversifié de manière progressive, en fonction de leurs possibilités financières. Il existe d’ailleurs de multiples manières de s’y prendre, que l’on soit étudiant, jeune travailleur ayant intégré la vie active, etc. À retenir également que les jeunes peuvent s’autoriser une prise de risque élevé, comparé aux (https://www.scpi-8.com/.
Attention aux organismes de placement collectif immobilier (OPCI). Même s’ils ont comme sous-jacent l’immobilier, tout comme les SCPI, les OPCI sont plus risqués du fait de leur composition en actions et obligations. Il vaut donc mieux, pour les jeunes, éviter ce type de placement lors de leurs premiers pas dans la constitution de leur portefeuille. Toujours est-il que les OPCI sont destinés à diversifier ce dernier, mais une fois que celui-ci rapporte sur le long terme et que la stratégie a été correctement ficelée.
Les foncières cotées ou sociétés d’investissement immobilier cotées (SIIC) se servent, quant à elles, d’actifs cotés en bourse, d’où des risques relativement élevés également en cas d’absence de suivi. Ce type de placement est donc réservé aux investisseurs qui sont plus avisés.
Les sociétés civiles immobilières (SCI) sont aussi des produits pierre-papier mais qui se différencient des SCPI, des OPCI et des SIIC. L’immobilier en indivision génère des revenus locatifs distribués aux porteurs de parts.
Investir dans l’assurance-vie
Tous ces actifs susmentionnés sont disponibles dans les assurances-vie, et plus précisément au sein de leurs supports en unités de compte) [...]